Assurances complémentaires: pourquoi prendre des risques?

Alors qu’il sillonne les États-Unis, Patrick M. est  pris de violents maux de ventre. À l’hôpital, on lui diagnostique des calculs biliaires. Les opérations à l’étranger peuvent coûter très cher – pour Patrick, la facture pourrait atteindre les six chiffres. Heureusement, il a conclu l’assurance complémentaire DIVERSA. Les quatre variantes de ce produit couvrent les séjours aussi bien ambulatoires que stationnaires en cas d’urgence à l’étranger, à concurrence de 75 jours selon le modèle choisi. DIVERSAcare et DIVERSApremium comprennent en plus une protection juridique des patient·es en cas de litiges, valable aussi en dehors des frontières nationales.

Les problèmes de dents, Stéphanie D. connaît bien: c’est une thématique récurrente dans sa famille. Elle se renseigne donc sur les produits de CONCORDIA pour assurer son fils, âgé d’un an. Son agence lui conseille de conclure l’assurance complémentaire DIVERSA, qui prend en charge jusqu’à 75 % des frais de traitement d’orthopédie dento-faciale. En complément, Stéphanie peut aussi souscrire l’Assurance pour soins dentaires, et ce sans attestation de dentiste avant le cinquième anniversaire de son enfant.

Mélanie H. souffre de troubles de l’endormissement. Elle apprend qu’une thérapie craniosacrale pourrait l’aider. Cette méthode de traitement alternative n’est toutefois pas prise en charge par l’assurance de base. En revanche, bonne nouvelle: l’assurance complémentaire NATURA, que Mélanie a conclue il y a plusieurs années, participe à ces frais pour les méthodes et thérapeutes que CONCORDIA reconnaît.

Anna W. aimerait renforcer son dos, car elle passe plusieurs heures par jour devant son ordinateur au bureau. L’assurance complémentaire NATURA lui verse une contribution pouvant atteindre CHF 200 par an pour son abonnement de fitness et la même somme pour son cours de gymnastique du dos, pour autant que le centre de fitness et l’instructeur ou instructrice bénéficient d’une certification et que CONCORDIA les reconnaisse. Pour savoir si NATURA couvre ces frais, Anna s’adresse à son agence CONCORDIA.

Benjamin N. va bientôt devenir papa. Récemment, il a vu un reportage à la télévision sur une famille confrontée à une situation financière très difficile après l’accident de cheval de sa fille, qui l’a laissée en fauteuil roulant. Benjamin aimerait donc prendre les devants et conclut l’assurance de capital risque DIMA chez CONCORDIA. Rassuré de savoir sa famille à l’abri financièrement si quelque chose devait lui arriver – et ce, pour une prime modeste – il peut envisager l’avenir avec confiance.

Parce qu’il accorde une grande importance à son confort et à son intimité, Jean S. a déjà conclu il y a longtemps l’Assurance-hospitalisation PRIVÉE. L’année prochaine, il doit se faire poser une prothèse de hanche. Comme sa fille vit en Suède, il envisage d’effectuer l’intervention là-bas, pour pouvoir passer sa convalescence en famille. Avec l’Assurance-hospitalisation PRIVÉE, il peut choisir son hôpital et les médecins qui le traiteront dans le monde entier.

Marie O. doit se faire opérer de l’appendicite. Grâce  à son Assurance-hospitalisation LIBERO, elle peut choisir si elle souhaite séjourner en division commune, mi-privée ou privée au moment de son admission. Pour cette intervention de routine, elle opte pour la division commune, ce qui lui permet de ne pas payer de quote-part. Avec son Assurance-hospitalisation LIBERO, Marie profite non seulement de primes avantageuses, mais aussi du libre choix d’hôpital et, selon la division, de médecin.

Johanna P. et son compagnon Fabien L. aimeraient avoir un enfant. Un point sur leurs assurances s’impose donc. Johanna opte pour l’Assurance-hospitalisation MI-PRIVÉE, qui lui permettra, au moment d’accoucher, de séjourner dans une chambre à deux lits, plus intime, et de choisir ses médecins à l’hôpital dans toute la Suisse.

Entre-temps, Johanna P. et Fabien L. attendent un heureux événement. Le futur papa se renseigne alors auprès de son agence CONCORDIA sur les assurances pour son bébé. La conseillère lui explique qu’il peut l’assurer avant sa naissance. De la sorte, l’admission dans les variantes de base de certaines assurances complémentaires sera possible sans examen de l'état de santé. Fabien décide donc de conclure les assurances DIVERSA, NATURA et Assurance-hospitalisation COMMUNE pour son bébé. Comme les primes sont basses, il souscrit également l’assurance de capital risque DIMA, qui nécessitera un examen simplifié de l'état de santé après la naissance. Une fois ces démarches administratives effectuées, Fabien peut se concentrer pleinement sur sa compagne et son bébé.

Vous trouverez des informations détaillées sur nos assurances complémentaires dans leurs conditions d’assurance respectives.

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Pour savoir de quelles assurances vous avez besoin et quelles prestations et contributions sont comprises dans les différentes variantes de chaque produit, n’hésitez pas à vous adresser à votre agence. Que ce soit par téléphone ou en personne, nous sommes toujours là pour vous: concordia.ch/agence